Antarès, de Marcel Arland (1932)


          Ce sont des tendresses, qu'environnent on ne sait quoi de sombre, de mal, peut-être, si du moins la main ne se retenait, des saletés, des misères, mais tout est contenu encore, et le sera toujours, avec Marcel Arland, et les laideurs que l'on devine, les dégoûts, restent dans l'ombre d'une belle après-midi de septembre, si l'on peut dire ainsi son style, calme, triste et serein.


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