Fermina Márquez, de Valéry Larbaud (1911)


          Si je me retourne, cinq ans, six ans, après l'avoir lu, j'ai souvenir d'une cour de collège, d'un parc d'Ile-de-France, de jeunes galopins, et dans tout cela une jeune fille, brune, presque une jeune femme, et brune, décidément, et qui jette dans le cœur de ces galopins la première robe, le premier parfum, et pour ainsi dire le modèle des autres robes, des autres parfums, de leur vie.




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